Christophe Bevilacqua
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 Le soir (Belgique, 09.05.2009)

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2 participants
AuteurMessage
Stéphanie

Stéphanie


Nombre de messages : 2238
Date d'inscription : 14/08/2008

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MessageSujet: Le soir (Belgique, 09.05.2009)   Le soir  (Belgique, 09.05.2009) EmptyDim 10 Mai - 22:46

http://www.lesoir.be/culture/musiques/aimer-christophe-tel-qu-il-2009-05-09-705426.shtml

Wink
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enzom

enzom


Nombre de messages : 276
Date d'inscription : 07/10/2008
Age : 63
Localisation : Bruxelles

Le soir  (Belgique, 09.05.2009) Empty
MessageSujet: Dsl si ces articles "presse" arrivent un peu tard,...   Le soir  (Belgique, 09.05.2009) EmptySam 23 Mai - 0:33

Christophe nous reçoit chez lui THIERRY COLJON samedi 09 mai 2009, 11:13

Dsl si ces articles "presse" arrivent un peu tard, mais je "tombe" dessus en parcourant le net, et je ne met en ligne que les articles du journal "Le soir", le plus grand journal belge. J'espère que vous y prendrez plaisir quand même. (je les mets en ligne surtout avant que le journal ne le fasse "disparaître" de ses serveurs !)


A la veille, ce samedi 16, de son concert au Cirque royal, en clôture des Nuits Botanique, Christophe nous a reçu chez lui, à Paris, boulevard Montparnasse, pour une partie de nuit à la fois rock'n'roll et diététique. Un reportage exclusif de Thierry Coljon.
De son vrai nom Daniel Bevilacqua, Christophe enregistre son premier 45 tours en 1963. © D. R.
PARIS

DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL

Tout commence par un coup de fil de Marie-Pierre, la manager de Christophe. « Êtes-vous libre ce soir pour dîner avec lui ? ». Ah bon, il est à Bruxelles ? « Non, non, chez lui, à Paris, mais ne vous inquiétez pas, il ne mange pas avant 22 heures. »

Passer une soirée avec Christophe, ça ne se refuse pas. D'autant qu'il sera aux Nuits Botanique, le 16 mai, avec Erik Truffaz et le Mons Orchestra. Le temps de terminer l'interview prévue avec le chanteur Daan (« Tu peux lui donner mon disque ? Je sais que Jeroen, mon claviériste, a un jour reçu un coup de fil de Christophe, et demande-lui dans quel état d'esprit il était quand il a composé l'intro de l'album Les paradis perdus, où il passait tous ses tubes à la tronçonneuse »), et nous sautons dans le train. .

À 22 heures pile, nous sommes devant le superbe immeuble art déco des années 30 du boulevard Montparnasse, où vit et travaille Christophe.

Marie-Pierre nous envoie en SMS les deux codes d'entrée et nous montons au troisième par le minuscule ascenseur en fer forgé. La porte est ouverte, Christophe est au téléphone, il termine une interview : « Installe-toi, j'arrive ! »

Le voilà enfin ce fameux Montparnasse Home Studio où, depuis dix ans, Christophe enregistre les bases de ses disques, ses boucles et ses nappes synthétiques. Dans son salon, tout simplement, avec une table de mixage, des claviers, un siège en cuir usé par des milliers d'heures nocturnes, séparé du piano à queue par un sofa aux boiseries rouges, sur lequel deux bas de soie sont savamment déposés, et par une table et des chaises de cuir noir clouté, sur lequel traîne un jeu d'échecs. Tout cela dans un décor muséal où, comme chez Gainsbourg, rue de Verneuil, on a l'impression que tout est à sa place. La collection de coupes de champagne (pas des flûtes, malheureux !) et de shakers, trois juke-box (« J'ai beaucoup chiné à Anvers, j'en cherche encore. Le Wurlitzer Peacock et puis le 1015. Ton frère peut me trouver ça en Flandre ? Mais des usés, déformés par le temps, pas des rénovés »), beaucoup de peintures et de superbes photos d'Elvis, d'Isabelle Adjani et un terrible portrait de Bashung jeune. Bashung qui a repris « Les mots bleus » et que Christophe a rejoint sur scène, aux Francofolies de Montréal en 2005, pour qu'ils chantent ensemble cette même chanson : « C'était sympa. Ça faisait un moment qu'on se revoyait. On ne parlait pas beaucoup, en fin de compte, on se croisait. Il n'a

jamais été bavard. »

Ce décor de cinéma, on le retrouve en partie dans les Polaroïd de Stefan De Jaeger, qui parsèment le livret de l'album Aimer ce que nous sommes, ainsi que dans le reportage de Playboy consacré à la rencontre entre Helena Noguerra et Christophe : « Helena va remplacer Isabelle (Adjani) pour l'ouverture du spectacle, à Bruxelles. Je l'aime beaucoup Helena. Elle est merveilleuse, elle est cool. Elle a une vraie personnalité, elle sait ce qu'elle veut, il ne faut pas l'emmerder. Les gens vont être contents de la voir, parce qu'elle est belle aussi. C'est une coquine, hein. Elle est terrible, elle est belle, cette grande. » Une fois parcourues les photos de nu de la petite sœur de Lio, on comprend le petit sourire en coin du chanteur, qui aime beaucoup Camille aussi : « Camille, j'aime bien, c'est ma préférée en France. Presque la seule que j'aime, en fait. Loizeau, il faut que je la voie sur scène. Il faut que je voie avant d'acheter le disque. Camille, quand elle se retourne, son cul, c'est un plus. Elle est capable de tout, celle-là. »

On finit de parcourir du regard les amplis, les pédales son, une photo de Marilyn, la collection d'éventails, de vieilles radios, les deux guitares Gibson (dont une Les Paul Junior).

« T'as faim ? On va manger ? Chinois ou japonais ? » On répond « Japonais » ; ce sera chinois, juste en face, sa cantine, là où il a son ardoise et ses habitudes, tout au fond, où il est certain de ne pas être dérangé. Ce qui n'empêchera pas un gamin de débarquer avec un stylo et un bout de papier. « J'ai des photos. » Et Christophe de sortir de son sac à dos une photo de lui qu'il dédicace : « Ce n'est pas beau sur un bout de papier, non ? »

Puisqu'il est chez lui, au chinois, il mène la manœuvre. Ce sera jus de kiwi et thé, sur fondue. Et mangue fraîche pour terminer. Plus bio et diététique que ça, pas possible. Et puis quel plaisir de voir Christophe vous initier au maniement de l'épuisette, sélectionner poissons et scampis à tremper dans le bouillon, avant de le faire mariner à la sauce de soja. « J'aime bien manger chinois, c'est léger. À Anvers, il y en avait un bon. J'aime bien Bruxelles aussi. Je suis venu voir Vive la Fête, à l'Ancienne Belgique. » Selon Els Pynoo, la chanteuse de Vive la Fête, Christophe, plus que séduit par la blonde excentrique, aurait écrit une chanson intitulée « Els Pynoo » : « Oui, elle est faite, mais je ne l'ai pas réussie. Mal terminée. J'ai demandé à Els de chanter sur l'album, mais sa chanson n'est pas reprise. J'ai envie de les revoir , ils tournent toujours ? »

Christophe en oublie de parler de ce concert particulier aux Nuits Botanique, une création avec Jean-Paul Dessy et son Mons Orchestra : « On ne prépare rien, nous. Dessy va jouer les partitions de l'album. Il doit juste diriger, avec Pascal (NDLR : Le pianiste arlonais Pascal Charpentier est à nouveau son directeur musical sur la tournée). Erik (Truffaz) ne fait pas toute la tournée, il vient de temps en temps. Il sera à Bruxelles. Murcof ne sera pas là mais bien à Versailles en juillet. »

Le précédent spectacle de Christophe (DVD Olympia 2002) était un tel éblouissement que remonter un spectacle aussi original ne doit pas être une mince affaire : « La première partie du concert, c'est le dernier album, et puis un “best of” : c'est osé mais c'est comme ça. Ce qui compte, c'est d'avoir une idée et d'en être content. Ce n'est pas facile, car le pire a déjà été fait. Une belle lumière, de bons intervenants. On a fait une déco, aidé par Andrée Putman, une designer, un génie. Il y avait le fameux piano Pleyel La voix lactée. Il est bleu, lumineux… On l'avait à l'Olympia la dernière fois, mais il ne sera pas à Bruxelles. Trop fragile à déplacer. On a filmé l'Olympia. Je ne sais pas encore si je vais en faire un DVD ou un film 35mm. Avec les coulisses, c'est intéressant. Je vais voir ce qui a été filmé. Ce qui m'intéresse est de voir l'image et de rapporter les choses après. Ce qui va donner la touche du film. Il y a le générique de fin. Je le fais toujours. C'est classique chez nous. Depuis deux, trois albums, je fais beaucoup de synthés. Ça donne une autre couleur aux anciens titres. Je ne chante que des chansons que j'aime. »

Christophe n'est pas tendre avec Universal : « Le dernier album n'a pas été un hit. Universal ? Je ne les fréquente plus. Sont tous pareils. Vont disparaître. On va revenir à la case départ. Heureusement, qu'ils ne se mêlent pas de mes disques, je ne dois pas me plaindre de ce côté-là. Le disque n'a pas fait 500.000 et alors ils boudent. Je les emmerde. Sans nous, ils ne seraient pas là. Nous, on peut être là sans eux. »

Son prochain disque, Christophe y pense déjà : « J'imagine quelque chose, les différences. Il faut d'abord avoir le format, le film. Après, on cherche les acteurs. J'aimerais un disque avec plusieurs accordéonistes, il y en a des bons. Moi, expérimental ? Je ne me rends pas compte. Sinon de ne pas faire le même que le précédent. Dans le show-biz, quand on choisit des gens, c'est parce qu'on les aime bien. Ce ne doit pas être juste un coup. Je ne suis pas très formaté, mais je suis content comme je suis. C'est pour ça que j'ai de bons contacts avec les journalistes. Un journaliste est quelqu'un qui écrit, qui a du talent, ça m'intéresse. Stefan De Jaeger (NDLR : le photographe belge a réalisé la pochette de son dernier disque), c'est quelqu'un de très sympathique, il a exposé à New York. Il faut que je l'appelle. J'aime ce qu'il fait. Ce n'est pas facile, le Polaroid. » À l'Olympia, Christophe n'a pas eu l'occasion de le saluer. Il aime quand l'amitié prolonge une collaboration. Une fois envoyé le SMS, il nous parle de New York, où il doit passer le week-end pour voir une salle : « On veut me faire chanter dans une salle, trois soirs. Je vais en profiter

pour aller voir Lou Reed, on s'entend bien. Il a toujours été franc dans ses interprétations. Il peut être dur. Il n'est pas toujours très ouvert, c'est vrai. Avec moi, il est super. Je suis un étranger, il aime bien quand il vient à Paris. Il est content quand je vais le voir. Il a un feeling mystérieux. J'aime bien car il est mon idole, quand même. »

Aimant le bon vin, il a demandé à un ami cinéaste de lui trouver un Brunello di Montalcino 1995. On lui conseille d'aller voir au Tribeca Grill, le resto de Robert DeNiro, la carte de vins y est à tomber raide. On parle cinéma aussi, la vraie passion d'un homme qui n'a fait que chanter tout au long de sa carrière, sans pour autant réaliser des musiques de films : « On ne me demande pas d'en faire car j'ai toujours dit qu'avec les Français, il y avait trop de barrières. Je ne fais pas de cinéma car on ne peut pas tout faire, faut être solide ».

On retrouve la nuit, le trottoir désert, le moment qu'il préfère quand il travaille, tentures ouvertes : « C'est une habitude, je vis la nuit, je dors le jour, je vois les levers et les couchers de soleil. La nuit, j'ai vue sur le ciel, de mon studio. C'est le ciel qui m'inspire, c'est sa lumière. Je ne pourrais pas le faire dans une cave. C'est une belle pièce pour travailler ».

On laisse là Christophe, la tête dans les étoiles, ses bottes et son pantalon de cosaque, ses mots hachés, sa gentillesse naturelle, sa curiosité, ses coups de cœur. Un vrai Seigneur. Le dernier des Bevilacqua, s'il n'y avait Lucie, sa fille photographe, dont il est si fier. Christophe, un homme bien, qui donne envie d'aimer ce qu'il est.

Christophe sera aux Nuits Bota, avec le Mons Orchestra, le samedi 16 mai ; www.botanique.be[b]
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Le soir (Belgique, 09.05.2009)
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