En 65, Christophe et Bashung partageaient (j'ai lu ça l'année dernière, à vérifier) le même appart, tout au début de leur carrière. Dans les années 60 / 70, j'ai pas trop suivi Bashung, c'était pas mon trip. Christophe avait déjà créé son univers. En fait "Madame rêve" m'a fait oublier "Gaby" pour écouter de plus près la suite ... La version des "Mots bleus" annonçait déjà un virage avant "La nuit je mens" ou "Sommes-nous".
"Fantaisie Militaire", "L'imprudence", "Bleu Pétrole" : Ces 3 derniers albums m'ont marqué, alors qu'au même moment, je n'écoutais que "Bevilaqua", "Comm'si la terre penchait", "Aimer ce que nous sommes".
Incroyable comme ces deux immenses talents ont traversé les 5 décennies.
Alain, on est aussi avec toi.